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On a testé pour vous : les injections de botox

Diabolisé dans les années 2000, le botox a su tout doucement revenir sur le devant de la scène ces dernières années, profitant sans doute du succès des injections d’acide hyaluronique qui se sont démocratisées. Après avoir testé ces dernières il y a quelques mois, Fanny notre Directrice communication, 33 ans, a voulu expérimenter le botox : une méthode “better aging” (en réalité complémentaire), à celle de l’acide hyaluronique, pour agir localement sur les premières rides et améliorer la qualité de la peau.

Olivier Claude-1021

Diabolisé dans les années 2000, le botox a su tout doucement revenir sur le devant de la scène ces dernières années, profitant sans doute du succès des injections d’acide hyaluronique qui se sont démocratisées. Après avoir testé ces dernières il y a quelques mois, Fanny notre Directrice communication, 33 ans, a voulu expérimenter le botox : une méthode “better aging” (en réalité complémentaire), à celle de l’acide hyaluronique, pour agir localement sur les premières rides et améliorer la qualité de la peau.

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Le botox, c’est quoi exactement ?

La toxine botulique, nom scientifique du Botox, est sécrétée par une bactérie responsable de la maladie appelée Botulisme. En 1950, un scientifique du nom de Brooks s’intéresse à ses propriétés neurotoxiques et prouve que si on l’injecte dans un muscle, celle-ci provoque un relâchement temporaire du muscle. Elle est alors utilisée à des fins médicales pour traiter des problèmes oculaires par exemple. À la fin des années 80, c’est d’ailleurs une ophtalmologue qui remarquera (par hasard !), que la toxine qu’elle utilise pour soigner un blépharospasme, réduit aussi l’apparence des rides. La machine est lancée…

C’est dans les années 90, que la toxine botulique prend pour nom commercial » Botox » et est utilisée principalement dans le but de réduire les rides d’expressions : ride du lion, rides du front et patte d’oie. En clair, partout où les rides sont dues à la contraction répétée d’un muscle qui finit par provoquer une cassure de la peau. Son action purement locale est limitée dans le temps et dure en général entre 4 et 6 mois.

Mon expérience…

Depuis que j’ai soufflé mes 30 bougies, ce n’est (malheureusement) pas un mythe, mes premières rides ont commencé à pointer le bout de leur nez. À mon retour de vacances, après avoir pris un peu le soleil, j’avais l’impression d’être plus marquée, sur le front et la patte d’oie. Il y a 6 mois, j’avais eu l’occasion de parler botox avec le Dr Olivier Claude lors de ma séance d’injections d’acide hyaluronique (que j’avais réalisé sur l’ovale du visage dans une logique de “prévention du vieillissement / affaissement” de la peau du visage). Il m’avait alors conseillé d’utiliser cette technique dans un second temps, pour travailler localement les rides d’expression plus marquées. C’est donc en toute confiance que je retournais le voir pour expérimenter le fameux “botox” pour la première fois…

La technique d’injection par le Docteur Olivier Claude

À qui cette méthode s’adresse-t-elle ?

En général, les patients commencent à partir de 30-35 ans. Le plus souvent en raison des rides du lion entre les sourcils qui peuvent donner un aspect sévère peu avenant dès que la patiente est concentrée ou donne de l’attention à son interlocuteur. De nombreuses patientes commencent également les traitements autour de 30 ans, afin de prévenir les premiers signes du vieillissement. On pourrait comparer cela à une prise en charge préventive de son corps en commençant tôt des cours de pilates ! On optimise le fonctionnement des balances musculaires pour aujourd’hui et pour demain : c’est un traitement et une prévention.

Sur quelles zones peut-on la pratiquer ?

Habituellement, le botox est utilisé sur la partie supérieure du visage. Il traite les rides du lion entre les sourcils en supprimant cet aspect de regard sévère qui ferme le regard. Il corrige également les rides du front et des pattes d’oie qui peuvent donner un aspect fatigué ou étonné. Mais tous les muscles du visage sont interconnectés, il est donc important de traiter également les muscles du bas, comme l’abaisseur de l’angle de la bouche (DAO). Cela permet de diminuer l’aspect de « smiley » inversé qui dégage une émotion de tristesse. Les muscles du cou sont aussi traités presque systématiquement : cela permet d’améliorer la définition de la ligne mandibulaire (jawline), et de diminuer les cordes du cou.

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Comment ça se passe ?

Après un diagnostic personnalisé, Le Docteur Olivier Claude commence par dessiner des points sur mon visage avec un feutre, puis réalise des micro-injections à ces différents endroits. Dans mon cas, la ride du lion, les pattes d’oies, le contour de l’œil mais aussi le long de la jawline et le cou. Peu de produit est injecté, mon objectif ici n’est pas de supprimer mes rides d’expression mais d’atténuer les ridules et surtout de ralentir le vieillissement de ma peau.

Résultat ?

Comme pour l’acide hyaluronique, c’est un véritable “coup de frais”, effet bonne mine totalement naturel ! Mes expressions ne sont pas figées, j’ai juste l’air plus reposée (comme une bonne nuit de 12H), j’ai la peau plus lisse, et mes traits sont moins marqués, tirent moins vers le bas… bref le résultat est bluffant ! J’ai eu quelques petites marques liées aux points des aiguilles le jour J, qui ont disparu immédiatement le lendemain et je n’ai pas eu de bleus. Je suis persuadée que sur le long terme, cela fera une vraie différence sur la manière dont va “mieux” vieillir mon visage. Mais comme toutes les bonnes choses, l’idée est bien sûr de ne pas en abuser… et surtout de se faire accompagner par des praticiens expérimentés, à la main légère et adeptes du naturel, qui régleront de manière personnalisée les concentrations, les volumes et le nombre de points réalisés sur chaque zone que vous souhaitez traiter.

Tarif

Compter 600€ pour une séance globale tous les 6 mois.
Sur RDV par téléphone : +33 (0)1 45 01 64 16